Homme versus
on
Sergio Núñez
Guzmán
On a su que les paroles latines changent. La question est
comment elles font les modifications, comme homo,
inis devient homme et après on.
D’abord, quand on cherche le mot on, nous pensons immediatement sur un pronom de la troisième
personne du singulier, mais où est la signification? Pas il, pas elle, c’est on, on,
ou n’est pas?
Le
pronom est le vocable qui va au lieu du nom. Le sens est à autre place. Est-ce que cette diction
n’a pas de signification?
Quand
nous vérifions ce vocable dans le dictionnaire (Petit Robert 1), nous trouvons
la definition suivante: “On pron. indéf. (XIIe; om, 842; du nomin. lat., homo.
V Homme). HOMME n.m. (Omne, 980; lat., homo, inis. V. on).”
Il
faut commencer par la langue latine qui donne l’origine aux langues romaniques.
Le mot apparu dans le dictionnaire latin est homo, inis. Nous nous sommes demandés: qu’est-ce que c’est homo et après hóminis?
Aux
définition du Petit Robert nous découvrons onme,
qui est la voix intermédiaire entre homo,
inis et on. Les
deux premiers homo, hóminis sont du
latin classique. La troisième parole omne
n’est pas du latin classique. Qu’est-ce que c’est? c’est la meme lexie, mais
évolucioné. Comment c’est issué cette alternative?
Il faut comprendre que la forme omne ne se dérive pas de homo ni de hóminis parce que homo
n’a pas de –n- et hóminis
a un –n- mais ce –n- est intervocalique et il n’y a pas de
–e- final, seulement dans hóminem. On
commence par expliquer la forme hóminem.
Le latin est une langue flexible
puisque il exprime les accidents grammaticaux: le numero, le genre et le cas
avec des terminaisons qui ont dans la même desinence. Un exemple:
Homo
puellam amat.
Puellam
hóminem amat.
On
voit que la fonction de noms ici
employés est determinée, non pas par leur place dans la phrase francaise, mais
par leur forme, c’est à dire par leur desinence.
Les
formes que prend un nom, selon sa fonction, s’appellent des cas. L’ensemble de
cas d’un nom constitue une déclinaison.
Le
francais, pas toujours, prend le cas accusatif du latin pour évoluer ses
dictions.
Il
est possible d’observer les allotropies dans hóminem jusque on. Nous
avons des recours pour justifier omne
jusque on, parce que hóminem a perdu la –m final de la désinence –em
comme en espagnol: hómine (hombre),
après de hómine la voyelle intertonique
postonique –i- a disparu et avons homne, ici, l’assimilation du grupe de
consonnes nasales –mn- en –mm- (groupe géminé) est issu de homme.
Il
y a un autre chemin pour hóminem en
espagnol, puisque le groupe de consonnes nasales peut avoir un dissimilation: homne > homre. C’est ici la dissimilation du groupe de consonnes nasales –mn- dans mr- parce que ces consonnes –n-
et –r- sont alvéolaires, mais la
première nasale et la seconde orale et avec la épenthése de –b- hombre,
c’est la raison d’évolution et du dissimilation.
En
portugais nous trouvons homem (hombre),
où la désinence latine –em reste.
Nous ne nous expliquons que hom―
comme l’assimilation complète du groupe hóminem > hó-mn-em >ho-m-em > homem,
mais en italien du nominative latin homo
> huomo avec la diphtongation du voyelle –o- tonique en –uo-.
En francais homne
a une assimilation total du groupe -mn- en –n-
> on, avec un interrogation: oú est-ce que le nominative latin homo est? Mais, le sens d’on est homme. Hóminem > homine
> homne > honne > honn > on. La h- a disparu totalement dans on.
Ainsi, on a le sens d’homme,
quiconque homme: moi, toi, lui /
elle, nous, vous, eux / elles, et la culture francaise de different âges a
seleccioné on comme pronom personnel
de quelques personnes. Qui sont les personnes seleccionés et pour quoi?
Est-ce
que nous cherchons la vérité dans le lexique où dans les faits? La vérité est
dans la réalité du langage ou dans la réalité des faits? Nous utilisons la
langue toute notre vie. Est-ce que nous savons où est la vérité de notre
parole?
Sergio
Núñez Guzmán
Lógos,
érgon
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